conjoncture économique maroc 2020

Il a bénéficié en outre du soutien d’urgence des principaux bailleurs internationaux (100 M EUR octroyés par l’AFD, 150 M EUR par l’UE, 275 M USD par la Banque Mondiale). Contexte hostile certes… mais le Maroc est appelé à tout miser pour rattraper le train de l’émergence et surtout faire profiter les différents pans de la société de manière équitable des fruits de la croissance économique. Si la crise du nouveau coronavirus (covid-19) a semé une terreur inédite dans l’ensemble des secteurs, la veille économique au Maroc a constitué durant l’année 2020 un solide rempart face à un chaos économique et social. Les regards braqués sur le nouveau modèle. Le Fonds spécial, qui a récolté plus de 33 Md MAD via la contribution du budget de l’Etat (pour le tiers) et des dons des entreprises et institutions publiques et de la population, a pu absorber 24,7 Md MAD de dépenses exceptionnelles liées à la crise (financement des mesures d’urgence et augmentation des capacités du ministère de la Santé). Les analystes n’ont cesse de le répéter : face à cette situation défavorable, le Maroc gagnerait à œuvrer activement en faveur de l’optimisation de sa politique commerciale extérieure à travers une triple action : Procéder à une révision globale des accords de libre-échange conclus et prospecter les meilleures voies possibles à même de favoriser un rééquilibrage des relations commerciales avec les partenaires ; Renforcer le dispositif de défense commerciale dans le but de lutter vigoureusement contre la concurrence étrangère déloyale ; Explorer l’opportunité de recourir à une nouvelle doctrine en matière de conclusion des accords de libre-échange, en privilégiant plus les groupements régionaux que l’approche bilatérale et en ciblant en priorité les pays du Sud pour se prémunir contre les chocs concurrentiels asymétriques. Au cours du 1er trimestre 2020, la conjoncture économique internationale a été frappée par l’irruption du Covid-19. Elle sera de -12,5 % au deuxième trimestre 2020, au lieu de -6 % prévue au 7 avril. L'activité économique nationale aurait régressé de 5,5% au quatrième trimestre de 2020, au lieu de -7,2%, un trimestre auparavant, selon le Haut Toujours est-il que dans ce sillage, nous ne pouvons pas nous empêcher d’évoquer le système fiscal qui brille par l’absence de l’équité fiscale. conjoncture et les dernières informations disponibles, l'activité économique, en variation trimestrielle, renouerait avec une croissance positive au troisième trimestre 2020 (+0,7%) et se consoliderait au Face à cette situation, la demande étrangère adressée au Maroc a été revue à la baisse. Bien que les fondamentaux macroéconomiques soient fragilisés, les récentes sorties réussies du Maroc sur les marchés financiers internationaux démontrent que le Royaume a toujours la confiance des investisseurs. La croissance économique du du Maroc devrait atteindre 4,6% en 2020, selon le Centre marocain de conjoncture (CMC). Les répercussions sociales de la crise ont dans l’immédiat été contenues grâce à des  mesures d’urgence fortes, qui ont consisté à : 1) soulager la trésorerie des entreprises (création d’une nouvelle garantie publique (Damane Oxygène dont 47 000 entreprises ont bénéficié, moratoire sur les échéances des crédits, report des charges fiscales et sociales) ; 2) limiter la baisse des revenus des salariés par la mise en œuvre d’une nouvelle indemnité chômage forfaitaire de 2000 MAD/mois ; 3) subvenir aux besoins des 4,3 millions de foyers les plus précaires (vivant du travail informel) via une aide de subsistance de 800 à 1 200 MAD/mois selon la taille du ménage (cette mesure n’est plus en vigueur). La mise en œuvre de ces mécanismes d’urgence illustre une bonne gestion institutionnelle de la crise, dont l’impact social demeure toutefois nécessairement important. Avec la Loi de Finances 2020, le ministre des Finances a certes annoncé la couleur, arrêté les grandes lignes et les indicateurs macroéconomiques à réaliser. Or, rien ne filtre pour l’instant et les indicateurs publiés dans le rapport du Comité de Coordination et de Surveillance des Risques Systémiques prédisent qu’en matière de retraite, le Maroc a encore un long chemin à parcourir. Le constat est sans appel : il devient urgent d’opérer une réduction progressive, voire une élimination des distorsions concurrentielles induites par la multiplicité des dépenses fiscales et des exonérations dont bénéficient à chaque fois les mêmes secteurs (agriculture, immobilier, hôtellerie…). L’objectif étant de mettre en place, à terme, un régime de base obligatoire, plafonné et ouvert à l’ensemble des actifs salariés ou non. Ajoutons à cela, la corruption qui gangrène notre économie attestant de la mauvaise gouvernance qui pèse de tout son poids sur le climat des affaires et ce en dépit des rangs gagnés dans le rapport de Doing Business 2020. Enregistrez mon nom, mon courrier électronique et mon site Web dans ce navigateur pour un prochain commentaire. Bon an, mal an, le taux de croissance oscille autour de 3%. La conjonction d’une faible pluviométrie sur le plan national, avec pour toile de fond la tendance baissière de la valeur ajoutée agricole pour le quatrième trimestre successif affichant un repli de 5,4%, et d’une poursuite du ralentissement de la croissance mondiale à fin 2019 augurent d’une année difficile aussi bien sur le plan interne qu’externe. Cela fait quelques temps qu’on le répète en boucle mais rien n’y fait. conjoncture et les dernières informations disponibles, l'activité économique, en variation annuelle, renouerait avec une croissance positive au troisième trimestre 2020 (+0,6%) et se consoliderait au La valeur ajoutée agricole devrait pour sa part régresser de 0,7%. Les conséquences de la crise sur les équilibres extérieurs ont pu être atténuées par le tirage de l’intégralité de la Ligne de Précaution et de Liquidité accordée par le FMI et les dernières sorties du Trésor marocain sur les marchés financiers internationaux. Le secteur aurait continué de pâtir de la baisse de la cadence des exportations du segment construction, dans un contexte de repli des ventes automobiles au niveau mondial, particulièrement en Europe et en Chine. Les réserves de change du Royaume ont par ailleurs été confortées par les dernières sorties du Trésor sur les marchés financiers internationaux (24 septembre et 8 décembre), où le Maroc a levé 1 Md EUR puis 3 Md USD. La conjoncture économique s’est dégradée fortement au début du deuxième trimestre, avant d’entamer une phase de redressement avec la levée progressive des mesures de confinement. Selon la Banque mondiale, la croissance du PIB réel devrait atteindre seulement 1,7% en 2020. 2020 se démarque comme étant l’année où le Maroc va s’appuyer sur un nouveau modèle de développement. Le FMI prévoit une contraction du PIB de 7,2 %, en raison du confinement sanitaire qui se superpose à la mauvaise campagne céréalière due à une sècheresse récurrente. L’économie marocaine s’était contractée de 8,7 % au T3 2020 (contre -14,9 % un trimestre plus tôt). Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Selon une note de conjoncture publiée par la Banque Nationale en avril dernier, la contraction du PIB de l’économie canadienne pour l’année 2020 pourrait atteindre 4,8%. Point de conjoncture du deuxième trimestre 2020 et perspectives pour le troisième trimestre [Publication] : Note de conjoncture N° 36, Avril 2020 Prévisions révisées de la croissance économique nationale pour le premier et le deuxième trimestre 2020 A ce titre, il est utile de rappeler que les accords de libre-échange signés avec plusieurs pays sont déficitaires en faveur des pays partenaires à telle enseigne que la question de refonte des ALE occupe le devant de la scène. Maroc : L'économie nationale en repli de 5,5% au dernier trimestre de 2020. Conjoncture 2020 : le Maroc, un véritable chantier à ciel ouvert ! Fort de ce constat, l’agence de notation Fitch Rating a révisé à la baisse la note du Maroc en octobre 2020 (passant de BBB- à BB+ et perdant ainsi son Investment Grade). L’année 2020 a bel et bien démarré avec ses appréhensions mais également ses espoirs ô combien nombreux dans une conjoncture qui s’annonce tumultueuse. Dans ces conditions, on peut considérer que le défi majeur pour l’économie marocaine est désormais celui du passage à une offre à forte valeur ajoutée pour l’économie marocaine. Un modèle devant rompre avec celui précédent ayant montré des signes d’essoufflement dans la mesure où le taux de la croissance économique demeure en deçà des attentes. En raison d’un confinement drastique dans les 1ers mois de la pandémie et de sa dépendance à des facteurs exogènes (pluviométrie, croissance européenne, insertion dans les chaînes de valeur mondiales), le PIB marocain devrait se contracter de 7,2 % sur l’année 2020 selon le FMI. 1. L'actualité économique en France : retrouvez les analyses et décryptages des Echos sur la conjoncture, la croissance, la consommation, le … Le repli économique constaté depuis mi-mars est Autrement dit, la rupture tant attendue par les opérateurs économiques n’est ressentie en aucun moment dans la LF 2020. Qui osera parler d’équité fiscale ? Toujours est-il que des chantiers, ayant trop tardé, urgent pour une entrée effective en 2020. Recul des exportations de 18,3% à fin juin 2020 (automobile : -33%, textile et cuir : -34,9%, aéronautique : -18,1%) et des importations de 17,5% à fin juin 2020 (produits finis C’est dire que la diversification de l’offre et des marchés se veut plus que déterminante. En avril dernier, le Centre marocain de conjoncture (CMC), un observatoire indépendant de l’économie marocaine qui fait référence dans le Royaume, pronostiquait une contraction de la croissance nationale de l’ordre de … ILS médias société éditrice de EcoActu et Le Manager©. Selon les prévisions de l’OCDE, le PIB de la zone euro devrait se contracter de 9,1% en 2020. La commission de Chakib Benmoussa, qui nourrit beaucoup d’espoir en ce moment est appelée à livrer le rapport au mois de juin. Bien que le coût de ces mesures exceptionnelles ait essentiellement été absorbé par le Fonds spécial de Gestion de la Pandémie mis en place au début de la crise, le déficit budgétaire et la dette du Trésor devraient augmenter à respectivement 7,7 % et 76,1 % du PIB (FMI). 2020 se démarque comme étant l’année où le Maroc va s’appuyer sur un nouveau modèle de développement. 3. Le Cet abaissement serait attribuable à une contraction de 14,4% de la valeur ajoutée non-agricole et d’un repli de 6,1% de celle de l’agriculture, explique le HCP dans son point de conjoncture du 2ème trimestre de 2020. 20-0631 - Situation économique et financière Maroc (dec 2020 - site Inte.._.pdf, 20-0627 - Maroc Chiffres Clés décembre.pdf. En conséquence, le déficit courant devrait s’élever à 6,9 % du PIB fin 2020. Malgré tout, une nouvelle étape de croissance est attendue pour 2020 après une année 2018 difficile et une légère amélioration enregistrée en 2019. Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. C’est peut-être cette passivité dans la prise en considération sérieuse de cet essoufflement de la politique économique du Maroc, qui a poussé Ahmed Lahlimi Alami à sortir de sa … Conjoncture économique bilan 2019 et perspectives 2020 Aussi, sous l’effet du reflux des cours sur le marché mondial depuis le début de l’année 2019, les exportations en valeur des phosphates et dérivés auraient, pour leur part, contribué pour – 1,2 point à l’évolution des exportations globales. Or, la crise a certes entraîné un recul des importations de 16,6 % sur les dix premiers mois de l’année, mais également une diminution de 10,1 % des exportations et de 60,3 % des recettes touristiques (les transferts des MRE sont stables). Cette dernière ne peut être que la résultante d’un modèle de développement à même de la garantir. La croissance économique nationale devrait se situer à 4,6% en 2020, estime le Centre marocain de conjoncture (CMC) dans le 314e numéro de sa publication mensuelle "Maroc conjoncture". Indicateur phare du climat des affaires est le flux des Investissements Etrangers qui, selon les derniers chiffres publiés par l’Office des changes, a accusé une baisse de 46,1% à 17.692 MDH à fin novembre 2019. De nature sanitaire, et a priori temporaire, c’est un choc polymorphe (offre, demande, confiance) auquel les autorités ont apporté des réponses massives au niveau international. On ne saurait jamais le faire sans citer la justice sociale qui constitue la colonne vertébrale de toute économie. Conséquence: les recettes du secteur affichent un retrait significatif, cumulant une baisse de 71,7% au titre du deuxième trimestre 2020, soit une perte de 11,8 milliards de dirhams. La note de conjoncture économique relève que le gouvernement se réjouit d’avoir maintenu le taux d’inflation à 15% durant l’année 2020. 2020, année de rattrapage ou de relance ? Coe-Rexecode Le rapport économique, social et financier (pdf - 5,5 Mo), annexé au projet de loi de finances 2021 et publié le 2 octobre 2020, prévoit une contraction de l Les anticipations révélées par le Haut-Commissariat au Plan interviennent après avoir analysé la conjoncture économique au dernier trimestre de l’année 2018. L’épidémie alliée à une sécheresse prolongée a par ailleurs déjà fait sentir ses effets sur l’économie marocaine. Un modèle devant rompre avec celui précédent ayant montré des signes d’essoufflement dans la mesure où le taux de la croissance économique demeure en deçà des attentes. Parmi les chantiers phares, nous pouvons citer la retraite, la mise en place sur les rails du nouveau modèle de développement, la compétitivité de l’offre exportable, la justice sociale. En attribuant le projet de la réforme par le ministère de l’Economie et des Finances au cabinet FINACTU, il était question de fournir les résultats de l’étude vers la fin de l’année 2019. Sans remuer le couteau dans la plaie et remettre sur la table la situation des caisses de retraite qui souffrent de l’amenuisement de réserves, de dettes implicites (engagements non couverts )… force est de constater que valeur aujourd’hui on ne sait que dalle sur la réforme systémique, étape cruciale de la réforme des régimes de retraite. Conjoncture économique. Du fait de la crise du Covid-19, le Maroc connaîtra en 2020 sa plus importante récession en 25 ans. Le modèle économique du Maroc, si modèle il y a, est insoutenable. Les dernières statistiques publiées par l’Office des changes à fin novembre 2019 montrent que le taux de couverture ne s’est pas amélioré, soit 57,4%. AMMC : liste des agréments et visas d’OPCVM…, [Graphes] AMMC : indicateurs mensuels du marché des…, S2M : Chadha Holding franchit le seuil de participation…, Fitch confirme la note ‘Excellent (mar)’ de BMCE…, Aradei Capital : la cloche de cotation retentit…, les accords de libre-échange signés avec plusieurs pays. La conjoncture économique française en 10 graphiques. En dépit des efforts déployés, l’offre marocaine est non compétitive par rapport à d’autres pays à développement similaire. Bref, la cadence, avec laquelle les travaux avancent, augure que la réforme n’est pas pour sitôt. Plusieurs facteurs aggravants se sont superposés au fort ralentissement de la majeure partie de l’activité économique pendant le confinement (80 jours) : la sensibilité de l’économie marocaine à la demande européenne (moteur des principaux écosystèmes industriels marocains) et la sécheresse persistante, ayant plus que divisé par deux les rendements céréaliers (repli du PIB agricole escompté à –5,0 %). L’économie marocaine s’était contractée de 8,7 % au T3 2020 (contre -14,9 % un trimestre plus tôt). Dans un contexte entièrement libéralisé, le Maroc a du mal à remédier au déséquilibre structurel de sa balance commerciale. Au lendemain des assises de la fiscalité ayant promis monts et merveilles, des espoirs sont nourris pour qu’ils fondent comme neige au soleil dès la première mouture du Projet de Loi de Finances 2020. Sa réalisation passe avant tout par une inclusion financière. Depuis la fin mars 2020, l’Insee a accru la fréquence de ses Points de conjoncture, pour tenir compte du caractère très évolutif de la situation économique. Conjoncture économique et financière du 3e trimestre 2020 Au cours du 3e trimestre, la conjoncture internationale a été marquée par une nouvelle étape dans la diffusion du choc sanitaire, avec un rebond des PIB qui s’annonce En se fiant aux derniers chiffres publiés par le Haut Commissariat au Plan, la croissance des exportations nationales en valeur aurait ralenti à 0,1% au quatrième trimestre 2019, au lieu de 2% un trimestre plutôt. 4. Toutefois, la diminution des recettes fiscales devrait entraîner une augmentation du déficit budgétaire à 7,7 % du PIB (+ 3,6 pts par rapport à 2019) et de la dette du Trésor à 76,1 % du PIB (+ 10 pts). Les réserves représentent désormais un matelas confortable de 7 mois d’importations. La solution d’un pôle public et privé n’est pas retenue comme un schéma définitif de la réforme, mais plus comme un tremplin vers la mise en place d’un régime de base unique. Les Notes et Points de conjoncture Dans un contexte de prolongement de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 novembre 2020, l’économie nationale aurait fléchi de 8,7% au troisième trimestre 2020, au lieu de -14,9% un trimestre plus tôt, sous l’effet d’une contraction de 9% de la valeur ajoutée hors agriculture et d’une baisse de 6,2% de celle de … Au terme des six premiers mois de 2020, ce recul est de 33,2% ou de 11,1 milliards de dirhams. «Notre prévision de 4,6% de croissance interviendra après une année 2019 marquée par un taux de 2,6%. Cela n’a pas entraîné de conséquences négatives sur les emprunts à l’international du Royaume. Pour anticiper l’éventualité d’une crise de liquidité externe, le Trésor marocain avait appelé en avril 2020 l’intégralité de la Ligne de Précaution et de Liquidité (3 Md USD) que le FMI lui octroie depuis 2012.

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