conjoncture économique maroc 2020

Contexte hostile certes… mais le Maroc est appelé à tout miser pour rattraper le train de l’émergence et surtout faire profiter les différents pans de la société de manière équitable des fruits de la croissance économique. Point de conjoncture du deuxième trimestre 2020 et perspectives pour le troisième trimestre [Publication] : Note de conjoncture N° 36, Avril 2020 Prévisions révisées de la croissance économique nationale pour le premier et le deuxième trimestre 2020 Bref, la cadence, avec laquelle les travaux avancent, augure que la réforme n’est pas pour sitôt. Autrement dit, la rupture tant attendue par les opérateurs économiques n’est ressentie en aucun moment dans la LF 2020. Dans un contexte de prolongement de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 novembre 2020, l’économie nationale aurait fléchi de 8,7% au troisième trimestre 2020, au lieu de -14,9% un trimestre plus tôt, sous l’effet d’une contraction de 9% de la valeur ajoutée hors agriculture et d’une baisse de 6,2% de celle de … Il a bénéficié en outre du soutien d’urgence des principaux bailleurs internationaux (100 M EUR octroyés par l’AFD, 150 M EUR par l’UE, 275 M USD par la Banque Mondiale). Les anticipations révélées par le Haut-Commissariat au Plan interviennent après avoir analysé la conjoncture économique au dernier trimestre de l’année 2018. Pour anticiper l’éventualité d’une crise de liquidité externe, le Trésor marocain avait appelé en avril 2020 l’intégralité de la Ligne de Précaution et de Liquidité (3 Md USD) que le FMI lui octroie depuis 2012. de couverture de 0,6 point à 58,6% à fin juin 2020. Au lendemain des assises de la fiscalité ayant promis monts et merveilles, des espoirs sont nourris pour qu’ils fondent comme neige au soleil dès la première mouture du Projet de Loi de Finances 2020. Face à cette situation, la demande étrangère adressée au Maroc a été revue à la baisse. Aussi, sous l’effet du reflux des cours sur le marché mondial depuis le début de l’année 2019, les exportations en valeur des phosphates et dérivés auraient, pour leur part, contribué pour – 1,2 point à l’évolution des exportations globales. 2. En raison d’un confinement drastique dans les 1ers mois de la pandémie et de sa dépendance à des facteurs exogènes (pluviométrie, croissance européenne, insertion dans les chaînes de valeur mondiales), le PIB marocain devrait se contracter de 7,2 % sur l’année 2020 selon le FMI. L'activité économique nationale aurait régressé de 5,5% au quatrième trimestre de 2020, au lieu de -7,2%, un trimestre auparavant, selon le Haut Au cours du 1er trimestre 2020, la conjoncture économique internationale a été frappée par l’irruption du Covid-19. La solution d’un pôle public et privé n’est pas retenue comme un schéma définitif de la réforme, mais plus comme un tremplin vers la mise en place d’un régime de base unique. Au terme des six premiers mois de 2020, ce recul est de 33,2% ou de 11,1 milliards de dirhams. Malgré tout, une nouvelle étape de croissance est attendue pour 2020 après une année 2018 difficile et une légère amélioration enregistrée en 2019. La croissance économique du du Maroc devrait atteindre 4,6% en 2020, selon le Centre marocain de conjoncture (CMC). Les réserves représentent désormais un matelas confortable de 7 mois d’importations. Cette baisse résulte essentiellement du recul des ventes extérieures de la confection et de la bonneterie et des produits agricoles et agro-alimentaires. La mise en œuvre de ces mécanismes d’urgence illustre une bonne gestion institutionnelle de la crise, dont l’impact social demeure toutefois nécessairement important. L'actualité économique en France : retrouvez les analyses et décryptages des Echos sur la conjoncture, la croissance, la consommation, le … C’est peut-être cette passivité dans la prise en considération sérieuse de cet essoufflement de la politique économique du Maroc, qui a poussé Ahmed Lahlimi Alami à sortir de sa … La conjoncture économique s’est dégradée fortement au début du deuxième trimestre, avant d’entamer une phase de redressement avec la levée progressive des mesures de confinement. L’objectif étant de mettre en place, à terme, un régime de base obligatoire, plafonné et ouvert à l’ensemble des actifs salariés ou non. 20-0631 - Situation économique et financière Maroc (dec 2020 - site Inte.._.pdf, 20-0627 - Maroc Chiffres Clés décembre.pdf. Le repli économique constaté depuis mi-mars est En se fiant aux derniers chiffres publiés par le Haut Commissariat au Plan, la croissance des exportations nationales en valeur aurait ralenti à 0,1% au quatrième trimestre 2019, au lieu de 2% un trimestre plutôt. Un modèle devant rompre avec celui précédent ayant montré des signes d’essoufflement dans la mesure où le taux de la croissance économique demeure en deçà des attentes. La conjoncture économique française en 10 graphiques. Le Cette dernière ne peut être que la résultante d’un modèle de développement à même de la garantir. Conjoncture économique bilan 2019 et perspectives 2020 Or, rien ne filtre pour l’instant et les indicateurs publiés dans le rapport du Comité de Coordination et de Surveillance des Risques Systémiques prédisent qu’en matière de retraite, le Maroc a encore un long chemin à parcourir. 1. Depuis la fin mars 2020, l’Insee a accru la fréquence de ses Points de conjoncture, pour tenir compte du caractère très évolutif de la situation économique. Plusieurs facteurs aggravants se sont superposés au fort ralentissement de la majeure partie de l’activité économique pendant le confinement (80 jours) : la sensibilité de l’économie marocaine à la demande européenne (moteur des principaux écosystèmes industriels marocains) et la sécheresse persistante, ayant plus que divisé par deux les rendements céréaliers (repli du PIB agricole escompté à –5,0 %). Maroc : L'économie nationale en repli de 5,5% au dernier trimestre de 2020. En avril dernier, le Centre marocain de conjoncture (CMC), un observatoire indépendant de l’économie marocaine qui fait référence dans le Royaume, pronostiquait une contraction de la croissance nationale de l’ordre de … Structurellement, le Maroc enregistre un déficit commercial élevé (18,5 % du PIB en 2019), en partie compensé par les recettes issues du tourisme et les transferts de fonds des Marocains résidant à l’étranger (MRE) (déficit courant de 4,1 % du PIB en 2019), qui constituent, avec les recettes des exportations, les principales rentrées de devise du Royaume. Toujours est-il que des chantiers, ayant trop tardé, urgent pour une entrée effective en 2020. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. A ce titre, il est utile de rappeler que plusieurs mesures ont été déployées pour y parvenir pour ne citer que la stratégie de l’inclusion financière dont les contours sont mis en place par la Banque Centrale et le ministère de l’économie et des finances. L’économie marocaine s’était contractée de 8,7 % au T3 2020 (contre -14,9 % un trimestre plus tôt). ILS médias société éditrice de EcoActu et Le Manager©. Les analystes n’ont cesse de le répéter : face à cette situation défavorable, le Maroc gagnerait à œuvrer activement en faveur de l’optimisation de sa politique commerciale extérieure à travers une triple action : Procéder à une révision globale des accords de libre-échange conclus et prospecter les meilleures voies possibles à même de favoriser un rééquilibrage des relations commerciales avec les partenaires ; Renforcer le dispositif de défense commerciale dans le but de lutter vigoureusement contre la concurrence étrangère déloyale ; Explorer l’opportunité de recourir à une nouvelle doctrine en matière de conclusion des accords de libre-échange, en privilégiant plus les groupements régionaux que l’approche bilatérale et en ciblant en priorité les pays du Sud pour se prémunir contre les chocs concurrentiels asymétriques. Les Notes et Points de conjoncture La commission de Chakib Benmoussa, qui nourrit beaucoup d’espoir en ce moment est appelée à livrer le rapport au mois de juin. Un modèle devant rompre avec celui précédent ayant montré des signes d’essoufflement dans la mesure où le taux de la croissance économique demeure en deçà des attentes. Ajoutons à cela, la corruption qui gangrène notre économie attestant de la mauvaise gouvernance qui pèse de tout son poids sur le climat des affaires et ce en dépit des rangs gagnés dans le rapport de Doing Business 2020. Or, la crise a certes entraîné un recul des importations de 16,6 % sur les dix premiers mois de l’année, mais également une diminution de 10,1 % des exportations et de 60,3 % des recettes touristiques (les transferts des MRE sont stables). AMMC : liste des agréments et visas d’OPCVM…, [Graphes] AMMC : indicateurs mensuels du marché des…, S2M : Chadha Holding franchit le seuil de participation…, Fitch confirme la note ‘Excellent (mar)’ de BMCE…, Aradei Capital : la cloche de cotation retentit…, les accords de libre-échange signés avec plusieurs pays. Du fait de la crise du Covid-19, le Maroc connaîtra en 2020 sa plus importante récession en 25 ans. Conséquence: les recettes du secteur affichent un retrait significatif, cumulant une baisse de 71,7% au titre du deuxième trimestre 2020, soit une perte de 11,8 milliards de dirhams. Conjoncture économique et financière du 3e trimestre 2020 Au cours du 3e trimestre, la conjoncture internationale a été marquée par une nouvelle étape dans la diffusion du choc sanitaire, avec un rebond des PIB qui s’annonce Toutefois, la diminution des recettes fiscales devrait entraîner une augmentation du déficit budgétaire à 7,7 % du PIB (+ 3,6 pts par rapport à 2019) et de la dette du Trésor à 76,1 % du PIB (+ 10 pts). Cet abaissement serait attribuable à une contraction de 14,4% de la valeur ajoutée non-agricole et d’un repli de 6,1% de celle de l’agriculture, explique le HCP dans son point de conjoncture du 2ème trimestre de 2020. Recul des exportations de 18,3% à fin juin 2020 (automobile : -33%, textile et cuir : -34,9%, aéronautique : -18,1%) et des importations de 17,5% à fin juin 2020 (produits finis Elle sera de -12,5 % au deuxième trimestre 2020, au lieu de -6 % prévue au 7 avril. Qui osera parler d’équité fiscale ? 2020 se démarque comme étant l’année où le Maroc va s’appuyer sur un nouveau modèle de développement. Les réserves de change du Royaume ont par ailleurs été confortées par les dernières sorties du Trésor sur les marchés financiers internationaux (24 septembre et 8 décembre), où le Maroc a levé 1 Md EUR puis 3 Md USD. L’épidémie alliée à une sécheresse prolongée a par ailleurs déjà fait sentir ses effets sur l’économie marocaine. conjoncture et les dernières informations disponibles, l'activité économique, en variation annuelle, renouerait avec une croissance positive au troisième trimestre 2020 (+0,6%) et se consoliderait au Il s’illustre notamment par une nette augmentation du chômage des jeunes (touchant 32,3 % de la population au T3 2020 contre 26,7 % un an auparavant) et une progression annoncée de la pauvreté (un million de personnes pauvres et vulnérables s’ajouteront aux deux millions préexistants). Le Fonds spécial, qui a récolté plus de 33 Md MAD via la contribution du budget de l’Etat (pour le tiers) et des dons des entreprises et institutions publiques et de la population, a pu absorber 24,7 Md MAD de dépenses exceptionnelles liées à la crise (financement des mesures d’urgence et augmentation des capacités du ministère de la Santé). L’année 2020 a bel et bien démarré avec ses appréhensions mais également ses espoirs ô combien nombreux dans une conjoncture qui s’annonce tumultueuse. Le constat est sans appel : il devient urgent d’opérer une réduction progressive, voire une élimination des distorsions concurrentielles induites par la multiplicité des dépenses fiscales et des exonérations dont bénéficient à chaque fois les mêmes secteurs (agriculture, immobilier, hôtellerie…). Les conséquences de la crise sur les équilibres extérieurs ont pu être atténuées par le tirage de l’intégralité de la Ligne de Précaution et de Liquidité accordée par le FMI et les dernières sorties du Trésor marocain sur les marchés financiers internationaux. La note de conjoncture économique relève que le gouvernement se réjouit d’avoir maintenu le taux d’inflation à 15% durant l’année 2020. Le secteur aurait continué de pâtir de la baisse de la cadence des exportations du segment construction, dans un contexte de repli des ventes automobiles au niveau mondial, particulièrement en Europe et en Chine. Avec la Loi de Finances 2020, le ministre des Finances a certes annoncé la couleur, arrêté les grandes lignes et les indicateurs macroéconomiques à réaliser. Dans un contexte entièrement libéralisé, le Maroc a du mal à remédier au déséquilibre structurel de sa balance commerciale. Finances locales : les recettes ordinaires ont chuté... Capacité fiscale : un manque à gagner pesant... Marsa Maroc : mise en service commerciale du... [Hiwar] Vaccin anti-Covid : les principales révélations du ministre de la Santé, Pr Khalid Ait Taleb, [WebTV] Lydec investit 58MDH pour la réalisation d’un projet d’assainissement à Tamaris, [WEBTV] CDG Prévoyance annonce le lancement officiel de son bouquet digital e-htiyati, [WebTV] Ylva Johansson visite le projet pilote Palim mis en œuvre par Enabel et ANAPEC, [Emission Hiwar] Rentrée de formation 2020-2021 : Loubna Tricha dévoile la riposte de l’OFPPT face au Covid, [Entretien] Reprise à consolider du BTP, préférence nationale, commande publique…, le point avec David Toledano, [Entretien] Pr F. 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